Ayant été comme tous les thérapeutes soumise à des épreuves difficile dans ma vie, (suicide d’un proche, abus avec toutes leurs conséquences),  la quête de la disparition de la souffrance, d’abors, puis celle d’un état de bien-être puis de bonheur m’a amené à mener un travail intérieur, accompagnée par des thérapeutes que je ne saurai assez remercier et par le Christ, cet amour pur, dénudé des tristes dogmes qui l’accompagnent trop souvent (heureusement, ces dogmes semblent épargner la Vierge Marie).

En parallèle, enseignante pendant quinze ans, j’ai cherché sans relâche un moyen d’aider au moyen les enfants à dépasser leurs difficultés d’apprentissage. Etant enseigante en français, La dyslexie de mes élèves me laissait particulièrement démunie. Percevant bien que mon métier, quoi que fort intéressant, avait ses limites, je me suis tournée vers une réponse qui s’est avérée efficace : la kinésiologie

J’ai ainsi découvert un autre monde, celui de l’énergétique, qui ouvrait des portes à la guérison autres que celles de la psychothérapie, et un champ d’action que je voyais (comme toute passionnée) illimité.

Continuant mon bonhomme de chemin, j’ai ensuite pu découvrir une autre manière d’améliorer mon rapport au monde, il s’agissait de l’Intelligene Relationnelle. La plus-value de ce modèle fut pour la l’intérêt porté au lien à l’autre, et à la sécutité que pouvait ressentir, ou non, le consultant. Cela a répondu à la question que je me posais depuis le mes débuts de thérapeute : qu’est-ce qui soigne ? La réponse est sans appel : la présence. La bienveillance, la disponibilité et la capacité de s’ajuster à l’autre sont ainsi les meilleurs vecteurs de guérison (juste après la Grâce Divine, bien évidemment).

Toujours en chemin, je m’engage à continuer ce travail intérieur, de manière à être toujours plus présente lors de mes accompagnements.